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Au Sénégal, le président Macky Sall appelle à l’apaisement face aux troubles

Son opposant Ousmane Sonko, dont l’arrestation a déclenché une vague de contestation inédite, a réclamé une mobilisation « beaucoup plus importante »

Quelle direction va prendre le mouvement social qui agite le Sénégal avec une virulence inédite depuis au moins une décennie ? Lundi 8 mars au soir, le président, Macky Sall, est sorti de son silence pour exhorter au « calme et à la sérénité » et réclamer d’éviter « la logique de l’affrontement qui mène au pire ».

Un peu plus tôt dans la journée, son principal opposant, Ousmane Sonko, dont l’arrestation mercredi 3 mars a déclenché cette vague de contestation, appelait à une mobilisation « beaucoup plus importante » mais « pacifique », parlant d’une « révolution en marche »« Le seul qui porte la responsabilité de cette situation s’appelle Macky Sall, il a trahi le peuple et il n’est plus légitime à diriger le Sénégal », a-t-il clamé, tout en demandant à ce que le chef de l’Etat déclare sans ambiguïté qu’il ne serait pas candidat à la prochaine élection présidentielle.

Quelle direction va prendre le mouvement social qui agite le Sénégal avec une virulence inédite depuis au moins une décennie ? Lundi 8 mars au soir, le président, Macky Sall, est sorti de son silence pour exhorter au « calme et à la sérénité » et réclamer d’éviter « la logique de l’affrontement qui mène au pire ».

Un peu plus tôt dans la journée, son principal opposant, Ousmane Sonko, dont l’arrestation mercredi 3 mars a déclenché cette vague de contestation, appelait à une mobilisation « beaucoup plus importante » mais « pacifique », parlant d’une « révolution en marche »« Le seul qui porte la responsabilité de cette situation s’appelle Macky Sall, il a trahi le peuple et il n’est plus légitime à diriger le Sénégal », a-t-il clamé, tout en demandant à ce que le chef de l’Etat déclare sans ambiguïté qu’il ne serait pas candidat à la prochaine élection présidentielle.

Quelle direction va prendre le mouvement social qui agite le Sénégal avec une virulence inédite depuis au moins une décennie ? Lundi 8 mars au soir, le président, Macky Sall, est sorti de son silence pour exhorter au « calme et à la sérénité » et réclamer d’éviter « la logique de l’affrontement qui mène au pire ».

Un peu plus tôt dans la journée, son principal opposant, Ousmane Sonko, dont l’arrestation mercredi 3 mars a déclenché cette vague de contestation, appelait à une mobilisation « beaucoup plus importante » mais « pacifique », parlant d’une « révolution en marche »« Le seul qui porte la responsabilité de cette situation s’appelle Macky Sall, il a trahi le peuple et il n’est plus légitime à diriger le Sénégal », a-t-il clamé, tout en demandant à ce que le chef de l’Etat déclare sans ambiguïté qu’il ne serait pas candidat à la prochaine élection présidentielle.

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